L'accueil familial estime n'être pas assez reconnu par les pouvoirs publics
Une lettre ouverte aux élus est rendue publique
Famidac, l'association des accueillants familiaux, a rendu publique une "lettre ouverte des accueillants familiaux aux élus locaux - députés, sénateurs, conseillers généraux ou régionaux, maires...- intitulée "N’oubliez pas l’accueil familial !"
La lettre ouverte publiée à la mi-novembre par Famidac a pour but de rappeler aux élus que près de "10.000 accueillants familiaux agréés hébergent environ 15.000 personnes en perte d'autonomie, âgées, handicapées, malades ou convalescentes."
Famidac qui se définit comme occupant une position intermédiaire "entre le maintien à domicile et le placement en établissement", représente une "solution de répit aux aidants familiaux", "un mode de prise en charge professionnel, chaleureux, économique, de proximité".
Alors que la perte d'autonomie engendre des dépenses croissantes chaque année, Famidac rappelle que "l’accueil familial ne génère aucune dépense supplémentaire".
L'accueil familial représenterait même "une source d’économies pour la société, favorisant la création d’emplois de proximité non délocalisables, contribuant à la revitalisation des territoires ruraux, et ceci sans mobiliser aucun investissement public".
Famidac estime que "l’accueil familial n’est pas encore assez connu et reconnu" et sollicite donc le soutien des élus.
La lettre est signée Belén Alonso, Présidente de Famidac.
Téléchargez la lettre sur le site de Famidac et pousuivivez l'action d'information.
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