Etre vieux est-ce préparer sa mort ? Les directives anticipées vues par les personnes âgées 1er débat organisé par le Centre d'Ethique Clinique de l'hôpital Cochin
1er débat organisé par le Centre d’Ethique Clinique de l’hôpital Cochin, le 11 octobre à Paris
Doit on parce qu’on est vieux anticiper sa mort ? Tel est, le 11 octobre à la MGEN, le thème du 1er débat dans le cadre du cycle organisé par le Centre d’Etude Clinique (CEC) de l’hôpital Cochin dans son projet visant à aider à « repenser le rôle de la médecine dans le maintien, la défense ou la négation de l’autonomie des personnes âgées. »
Le besoin d’exprimer des volontés sur sa fin de vie et peut être plus largement sur son propre vieillissement médicalisé ou non pourrait se faire sentir, laissant la place à d’éventuelle directives anticipées. Si ce n’est pas le cas dans un moment paisible, il est possible que cette volonté se manifeste à un moment où la santé se dégrade, situation à laquelle la personne de plus de 75 ans et à priori plus souvent confrontée.
Il s’agit de se demander si les personnes âgées se saisissent de la possibilité qu’elles ont de formuler et rédiger des directives anticipées. 5 ans après l’entrée en vigueur de la loi n° 2005-370 du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie dite "loi Leonetti" les ayant introduites, connaissent-elles les dispositions législatives en questions ? Qu’en pensent-elles et que disent elles de ce qu’elles souhaiteraient concernant leur fin de vie ?
Au cours de ce premier débat seront présentés les résultats de l’étude réalisée sur ces questions par le CEC.
Roselyne Bachelot, ministre des Solidarités et de la Cohésion Sociale ouvrira les travaux de cette journée.
Jean Leonetti resituera les directives anticipées dans la loi qui porte son nom avant que ne soit présentée les résultats de l’étude sur ce thème.
Consulter et télécharger le programme détaillé de la journée
Mardi 11 octobre 2011
13h00 à 20h00
Salle de conférences MGEN
3 square Max Hymans Paris 15 e
En savoir plus sur le CEC