Etre aidant, être aidé
Edito : Booster son réseau d'aides
Impossible d’aider seul à vieillir debout
Pour vieillir debout, mieux vaut booster son réseau d'aides.
Et pour aider à vieillir debout aussi.
Notamment quand surviennent des pathologies neurodégénératives, appelées aussi neuro-évolutives comme Alzheimer. Et ce même si la recherche ne lâche rien : voir la piste de l’immunomodulation cette semaine.
Mieux vaut booster sa santé par des actions de prévention comme prendre soin de ses dents cette semaine et dépister les pertes d'audition (qui risquent d'aggraver demain des troubles de la mémoire, de la communication, l'isolement).
Mieux vaut booster son réseau pour connaître les aides auxquelles on a droit, y compris en outre-mer, pour accédez aux solutions de répit encore sous utilisées, aux pistes pour alléger les dispositions en fin de vie, pour prévenir les situations à risque de maltraitance.
Le piège reste le huis clos, l'enfermement dans le couple aidé-aidant, sans que des regards extérieurs ne l'éclairent, sans que la solidarité ne s'active, s'inquiète Florence Leduc Présidente de l'Association Française des aidants. Cette solidarité et cette entraide au coeur de la BD "Le gang des vieux schnocks" qui misent à la fois sur eux-mêmes et sur le lien avec les jeunes de proximité !
De leur côté, les proches aidants aussi ont fait leur grand débat : ils veulent s'imposer dans les futurs arbitrages et faire entendre leur voix, celles des personnes fragilisées, celle de la révolution de la longévité.
Impossible d'aider seul à vieillir debout donc. Encore faut-il connaître ces aides, ces services, ces solutions ... de confiance, labellisées. C'est l'enjeu depuis l'an 2000 d'Agevillage et de son annuaire de 30 000 contacts locaux. Vous y trouverez notamment les structures labellisées Humanitude, 1er label de bientraitance.
Pour apprendre à booster son réseau d'aides.
Et pour aider à vieillir debout aussi.
Notamment quand surviennent des pathologies neurodégénératives, appelées aussi neuro-évolutives comme Alzheimer. Et ce même si la recherche ne lâche rien : voir la piste de l’immunomodulation cette semaine.
Mieux vaut booster sa santé par des actions de prévention comme prendre soin de ses dents cette semaine et dépister les pertes d'audition (qui risquent d'aggraver demain des troubles de la mémoire, de la communication, l'isolement).
Mieux vaut booster son réseau pour connaître les aides auxquelles on a droit, y compris en outre-mer, pour accédez aux solutions de répit encore sous utilisées, aux pistes pour alléger les dispositions en fin de vie, pour prévenir les situations à risque de maltraitance.
Le piège reste le huis clos, l'enfermement dans le couple aidé-aidant, sans que des regards extérieurs ne l'éclairent, sans que la solidarité ne s'active, s'inquiète Florence Leduc Présidente de l'Association Française des aidants. Cette solidarité et cette entraide au coeur de la BD "Le gang des vieux schnocks" qui misent à la fois sur eux-mêmes et sur le lien avec les jeunes de proximité !
De leur côté, les proches aidants aussi ont fait leur grand débat : ils veulent s'imposer dans les futurs arbitrages et faire entendre leur voix, celles des personnes fragilisées, celle de la révolution de la longévité.
Impossible d'aider seul à vieillir debout donc. Encore faut-il connaître ces aides, ces services, ces solutions ... de confiance, labellisées. C'est l'enjeu depuis l'an 2000 d'Agevillage et de son annuaire de 30 000 contacts locaux. Vous y trouverez notamment les structures labellisées Humanitude, 1er label de bientraitance.
Pour apprendre à booster son réseau d'aides.
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