Bien vieillir (prendre soin de soi)
Saint-Valentin : rester libre de s'aimer à tout âge
Changer les regards sur la sexualité des seniors
La semaine dernière, l’autrice Sophy Burnham, 82 ans, témoignait dans le New York Times de son rapport à l’amour et à la sexualité.
« Je ne me suis jamais sentie plus vivante sexuellement parlant qu’à la cinquantaine, la soixantaine et oui, même après 70 ans, libre du risque de grossesse mais avec une sensualité enflammée », écrit-elle.
Car l’âge, tout comme le handicap ou la perte d’autonomie, n’éteint pas les désirs, les envies de relations, d’affection.
Ainsi, en octobre 2017, l’équipe de la maison de vie Le Buis Morsent organisait une journée speed dating/boîte de nuit inter-établissements pour personnes handicapées. Le point de départ ? Le souhait d’une jeune résidente de 22 ans, désireuse d’avoir, comme la plupart des personnes de son âge, une vie sexuelle.
L’initiative a mobilisé 50 résidents et presqu’autant d’éducateurs, qui ont préparé la journée très en amont, et a rempli son objectif en permettant des rencontres amicales comme affectives.
Le 14 février, ce sera au tour de la résidence les Senioriales de Saint-Mandé d’aider ses résidents à créer de nouveaux liens.
Au programme, un atelier de mise en beauté (coiffure, maquillage conseils…) suivi d’un déjeuner spécial Saint-Valentin puis d’une session de speed dating.
Mais âgisme oblige, il est parfois difficile d’envisager cette facette de la vie des personnes âgées ou très âgées. Pourtant, 85 % des seniors se disent prêts à tomber amoureux* !
Professionnels de l’accompagnement, familles, personnes concernées elles-mêmes ne portent pas toujours un regard très tendre sur l’amour et la sexualité au grand âge.
Rappelons que chacun est libre de vivre sa vie et créer les relations qu’il ou elle souhaite, dans le respect du consentement de l’autre, et ce même sous tutelle…
Visuel : affiche issue de la campagne #revolutionsenior, initiée par l’association Greypride, qui vise à changer les regards sur la sexualité des seniors.
* Etude Ipsos pour Domitys, janvier 2019.
« Je ne me suis jamais sentie plus vivante sexuellement parlant qu’à la cinquantaine, la soixantaine et oui, même après 70 ans, libre du risque de grossesse mais avec une sensualité enflammée », écrit-elle.
Car l’âge, tout comme le handicap ou la perte d’autonomie, n’éteint pas les désirs, les envies de relations, d’affection.
Ainsi, en octobre 2017, l’équipe de la maison de vie Le Buis Morsent organisait une journée speed dating/boîte de nuit inter-établissements pour personnes handicapées. Le point de départ ? Le souhait d’une jeune résidente de 22 ans, désireuse d’avoir, comme la plupart des personnes de son âge, une vie sexuelle.
L’initiative a mobilisé 50 résidents et presqu’autant d’éducateurs, qui ont préparé la journée très en amont, et a rempli son objectif en permettant des rencontres amicales comme affectives.
Le 14 février, ce sera au tour de la résidence les Senioriales de Saint-Mandé d’aider ses résidents à créer de nouveaux liens.
Au programme, un atelier de mise en beauté (coiffure, maquillage conseils…) suivi d’un déjeuner spécial Saint-Valentin puis d’une session de speed dating.
Mais âgisme oblige, il est parfois difficile d’envisager cette facette de la vie des personnes âgées ou très âgées. Pourtant, 85 % des seniors se disent prêts à tomber amoureux* !
Professionnels de l’accompagnement, familles, personnes concernées elles-mêmes ne portent pas toujours un regard très tendre sur l’amour et la sexualité au grand âge.
Rappelons que chacun est libre de vivre sa vie et créer les relations qu’il ou elle souhaite, dans le respect du consentement de l’autre, et ce même sous tutelle…
Visuel : affiche issue de la campagne #revolutionsenior, initiée par l’association Greypride, qui vise à changer les regards sur la sexualité des seniors.
* Etude Ipsos pour Domitys, janvier 2019.