Quatre gestes pour une meilleure qualité de l'air
Journée mondiale de la qualité de l’air le 19 septembre
A l’intérieur comme à l’extérieur, respirer un air de bonne qualité permet de préserver sa santé. Si une grande partie des polluants atmosphériques provient de l’industrie et du secteur agricole, il est aussi possible de les limiter à titre individuel.
Contrairement aux idées reçues, l’air intérieur est bien plus nocif pour la santé que l’air extérieur, malgré les pics de pollution recensés ces dernières années.
Les sources principales de pollution dans la maison :
• la pollution issue de la combustion : fumée de cigarette notamment, mais aussi le monoxyde de carbone qui peut s’échapper des chaudières à gaz ;
• la pollution chimique : produits ménagers, colles des meubles, peintures…
• les biocontaminants : acariens dans les textiles, moisissures engendrées par l’humidité…
Pour améliorer la qualité de l’air chez soi, il suffit de quelques gestes simples.
En premier lieu, aérer, même quand il fait froid dehors. 10 minutes matin et soir suffisent, même s’il ne faut pas oublier d’ouvrir la fenêtre quand on cuisine ou après le bain pour chasser l’humidité.
Passer au vert pour le ménage. La majorité des produits ménagers du commerce contiennent des substances nocives, privilégiez ceux qui sont labellisés Ecarf ou AC (allergènes contrôlés), ou mieux, passez au naturel (vinaigre blanc, savon noir…).
Ôter les textiles superflus : ils contiennent des acariens, sources d’allergie. Commencez par supprimer les tapis, qui peuvent en plus occasionner des chutes.
Faire entretenir les appareils de cuisson, les chauffages mais aussi la VMC pour supprimer la pollution liée à la combustion et à l’humidité.
Le 19 septembre se tiendra la quatrième journée nationale de la qualité de l’air. L’occasion d’en apprendre plus sur les moyens de mieux respirer chez soi, de rencontrer des experts de la question, d’assister à des conférences… grâce à des événements organisés un peu partout.
Connaître le programme près de chez vous
Contrairement aux idées reçues, l’air intérieur est bien plus nocif pour la santé que l’air extérieur, malgré les pics de pollution recensés ces dernières années.
Les sources principales de pollution dans la maison :
• la pollution issue de la combustion : fumée de cigarette notamment, mais aussi le monoxyde de carbone qui peut s’échapper des chaudières à gaz ;
• la pollution chimique : produits ménagers, colles des meubles, peintures…
• les biocontaminants : acariens dans les textiles, moisissures engendrées par l’humidité…
Pour améliorer la qualité de l’air chez soi, il suffit de quelques gestes simples.
En premier lieu, aérer, même quand il fait froid dehors. 10 minutes matin et soir suffisent, même s’il ne faut pas oublier d’ouvrir la fenêtre quand on cuisine ou après le bain pour chasser l’humidité.
Passer au vert pour le ménage. La majorité des produits ménagers du commerce contiennent des substances nocives, privilégiez ceux qui sont labellisés Ecarf ou AC (allergènes contrôlés), ou mieux, passez au naturel (vinaigre blanc, savon noir…).
Ôter les textiles superflus : ils contiennent des acariens, sources d’allergie. Commencez par supprimer les tapis, qui peuvent en plus occasionner des chutes.
Faire entretenir les appareils de cuisson, les chauffages mais aussi la VMC pour supprimer la pollution liée à la combustion et à l’humidité.
Le 19 septembre se tiendra la quatrième journée nationale de la qualité de l’air. L’occasion d’en apprendre plus sur les moyens de mieux respirer chez soi, de rencontrer des experts de la question, d’assister à des conférences… grâce à des événements organisés un peu partout.
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