Bien vieillir (prendre soin de soi)
Des transports gratuits pour les vieux ?
Entre assistance et discrimination positive
Vieillissement de la population, enjeux écologiques, développement durable (face à la pollution), situations de handicap et d'isolement, tensions sur les finances publiques ... La gratuité des transports collectifs pour les uns ou les autres, revient régulièrement sur le devant de la scène (comme à Grenoble récemment).
Faut-il proposer la gratuité des transports aux plus âgés ?
Mais en fait pourquoi cette question ?
Pourquoi pour les plus âgés, justement ?
Parce qu'ils sont plus à risque d'isolement ?
Parce qu'ils sont plus fragiles ?
Certes l'isolement social est le fléau, rappelle Monalisa, la Mobilisation nationale contre l'isolement des plus âgés.
Certes les environnements, les domiciles des plus âgés mériteraient d'être mieux adaptés à l'isolement social et au risque de chute afin d'éviter les accidents, les fractures, les hospitalisations, l'épuisement des proches aidants et les entrées prématurées en établissements médicalisés. Le label HS2® Haute Sécurité Santé vise justement le maintien à domicile dans un environnement intelligent, ouvert, connecté et durable (y compris économiquement).
Certes la liberté, l'autonomie sont souvent liées à la conduite automobile qui peut poser question avec l'avancée en âge (quand s'arrêter ? comment ? quelles alternatives ?).
Les transports collectifs, publics sont indispensables à tous les citoyens.
Limiter la gratuité à une catégorie d'âge pose question en terme de discrimination.
En écho avec l'analyse de l'Observatoire de l'Agisme, soit l'accès est libre et gratuit pour tous, soit des barèmes liés aux situations de handicaps, au quotient familial, aux revenus... encadrent la gratuité.
Mais comme tous les citoyens, les retraités doivent participer à leur fonctionnement.
Des aides comme l'Apa (allocation personnalisée d'autonomie) viennent soutenir l'accès à des services d'aide et d'accompagnement destinés aux plus de 60 ans en situation de fragilité. Le crédit d'impôt auquel ces services d'aides donnent droit pourrait encore être adapté pour faciliter le financement de ces précieuses heures.
Mais attention à ne pas dévaloriser et s'apitoyer sur l'avancée en âge. Certains octogénaires et nonagénaires continuent d'oser... sauter en parachute, piloter un ULM.
Certes les handicaps, les fragilités obligent à interroger l'environnement, les transports, l'accessibilité, les services comme le rappelle le label "Villes amies des aînés". Mais ces adaptations bénéficient à toutes les générations !
Liberté, égalité, fraternité a-t-on écrit au fronton de nos lieux publics.
Pour tous les citoyens.
Quel que soit leur âge.
Faut-il proposer la gratuité des transports aux plus âgés ?
Mais en fait pourquoi cette question ?
Pourquoi pour les plus âgés, justement ?
Parce qu'ils sont plus à risque d'isolement ?
Parce qu'ils sont plus fragiles ?
Certes l'isolement social est le fléau, rappelle Monalisa, la Mobilisation nationale contre l'isolement des plus âgés.
Certes les environnements, les domiciles des plus âgés mériteraient d'être mieux adaptés à l'isolement social et au risque de chute afin d'éviter les accidents, les fractures, les hospitalisations, l'épuisement des proches aidants et les entrées prématurées en établissements médicalisés. Le label HS2® Haute Sécurité Santé vise justement le maintien à domicile dans un environnement intelligent, ouvert, connecté et durable (y compris économiquement).
Certes la liberté, l'autonomie sont souvent liées à la conduite automobile qui peut poser question avec l'avancée en âge (quand s'arrêter ? comment ? quelles alternatives ?).
Les transports collectifs, publics sont indispensables à tous les citoyens.
Limiter la gratuité à une catégorie d'âge pose question en terme de discrimination.
En écho avec l'analyse de l'Observatoire de l'Agisme, soit l'accès est libre et gratuit pour tous, soit des barèmes liés aux situations de handicaps, au quotient familial, aux revenus... encadrent la gratuité.
Mais comme tous les citoyens, les retraités doivent participer à leur fonctionnement.
Des aides comme l'Apa (allocation personnalisée d'autonomie) viennent soutenir l'accès à des services d'aide et d'accompagnement destinés aux plus de 60 ans en situation de fragilité. Le crédit d'impôt auquel ces services d'aides donnent droit pourrait encore être adapté pour faciliter le financement de ces précieuses heures.
Mais attention à ne pas dévaloriser et s'apitoyer sur l'avancée en âge. Certains octogénaires et nonagénaires continuent d'oser... sauter en parachute, piloter un ULM.
Certes les handicaps, les fragilités obligent à interroger l'environnement, les transports, l'accessibilité, les services comme le rappelle le label "Villes amies des aînés". Mais ces adaptations bénéficient à toutes les générations !
Liberté, égalité, fraternité a-t-on écrit au fronton de nos lieux publics.
Pour tous les citoyens.
Quel que soit leur âge.
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