Le défi de Monsieur Spautz
Monsieur Spautz vit à la Résidence Op der Waassertrap, une maison de retraite luxembourgeoise. Le 8 juillet, l’homme se lancera à l’assaut du haut-fourneau de Belval, qui revêt une importance toute particulière à ses yeux… et surtout, accomplira un exploit hors norme pour un homme qui ne se déplaçait, il y a un an encore, qu’en fauteuil roulant.
Un mètre, puis deux, puis trois… 20 marches, puis 25… Pour Monsieur Spautz, chaque pas compte, puisqu’il le rapproche de son objectif.
Cet homme entré en maison de retraite en mars 2016, qui ne pouvait presque plus marcher et se déplaçait en fauteuil roulant, s’est en effet lancé un défi de taille : gravir le haut-fourneau de l’usine où travaillaient son père et son frère. 180 marches à monter, 180 marches à descendre.
Ancien cheminot, M. Spautz n’a jamais réalisé cette ascension. Après trois mois d’entraînement sans relâche, il pourra enfin réaliser son projet.
Avec le soutien du kinésithérapeute de l’établissement, il a entrepris une rééducation soutenue, deux mois après son arrivée.
Aujourd’hui, il est capable de grimper 180 marches dans l’escalier de la maison de retraite, et a débuté ses essais sur site le 7 juin.
Côté marche, l’homme peut désormais parcourir environ 500 mètres.
Un bel exemple de détermination et d’accompagnement du projet de vie. Et un exploit qui restera sans aucun doute gravé dans sa mémoire…
Un mètre, puis deux, puis trois… 20 marches, puis 25… Pour Monsieur Spautz, chaque pas compte, puisqu’il le rapproche de son objectif.
Cet homme entré en maison de retraite en mars 2016, qui ne pouvait presque plus marcher et se déplaçait en fauteuil roulant, s’est en effet lancé un défi de taille : gravir le haut-fourneau de l’usine où travaillaient son père et son frère. 180 marches à monter, 180 marches à descendre.
Ancien cheminot, M. Spautz n’a jamais réalisé cette ascension. Après trois mois d’entraînement sans relâche, il pourra enfin réaliser son projet.
Avec le soutien du kinésithérapeute de l’établissement, il a entrepris une rééducation soutenue, deux mois après son arrivée.
Aujourd’hui, il est capable de grimper 180 marches dans l’escalier de la maison de retraite, et a débuté ses essais sur site le 7 juin.
Côté marche, l’homme peut désormais parcourir environ 500 mètres.
Un bel exemple de détermination et d’accompagnement du projet de vie. Et un exploit qui restera sans aucun doute gravé dans sa mémoire…