Service civique : des volontaires toujours plus nombreux
Sur les 200 000 jeunes qui se sont portés volontaires depuis 2010 pour effectuer une mission de service civique, la moitié d’entre eux se sont manifestés en 2016. Et en 2017, l’Agence du service civique compte sur 150 000 Français âgés de 18 à 30 ans pour intervenir auprès d’enfants, d’adultes en difficultés… ou de personnes âgées. Pour les remercier mais aussi mieux faire connaître cette forme d’engagement au service de l’intérêt général, l’Agence leur dit aujourd’hui merci.
Sur le terrain, pendant 6 à 12 mois, pour au moins 24 heures par semaines, les volontaires en service civique font vivre la solidarité.
Notamment au sein des établissements pour personnes âgées de statut associatif (privé non lucratifs) et au sein du dispositif Monalisa (mobilisation nationale contre l’isolement des âgés).
Concrètement, les jeunes engagés renforcent les liens sociaux et intergénérationnels en accomplissant des missions et en montant des projets qui vont au-delà de ce que proposent déjà les organismes qui les accueillent.
« Comme les ateliers mémoire que des volontaires ont mis en place au sein des foyers Adoma, à destination des chibanis, ces anciens travailleurs immigrés âgés », indique Yannick Blanc, président de l’Agence du service civique.
Le but n’étant pas de prendre la place d’emplois existants mais de proposer des activités, un accompagnement supplémentaires, poursuit-il.
Et, pourquoi pas, de trouver sa voie, à l’instar d’Amélie, qui a choisi de devenir psychomotricienne après avoir accompagné pendant quelques mois les résidents d’un Ehpad à Châtillon.
De mieux en mieux connu et apprécié – par plus de 9 Français sur 10 –, le service civique fait désormais partie des leviers incontournables de la solidarité sociale.
Reste maintenant à fournir suffisamment de missions à tous ces jeunes pour atteindre l’objectif annoncé par François Hollande, à savoir la moitié d’une classe d’âge, soit 350 000 personnes en service civique chaque année.
La campagne Merci aux volontaires est actuellement diffusée dans les cinémas et sur internet.
Sur le terrain, pendant 6 à 12 mois, pour au moins 24 heures par semaines, les volontaires en service civique font vivre la solidarité.
Notamment au sein des établissements pour personnes âgées de statut associatif (privé non lucratifs) et au sein du dispositif Monalisa (mobilisation nationale contre l’isolement des âgés).
Concrètement, les jeunes engagés renforcent les liens sociaux et intergénérationnels en accomplissant des missions et en montant des projets qui vont au-delà de ce que proposent déjà les organismes qui les accueillent.
« Comme les ateliers mémoire que des volontaires ont mis en place au sein des foyers Adoma, à destination des chibanis, ces anciens travailleurs immigrés âgés », indique Yannick Blanc, président de l’Agence du service civique.
Le but n’étant pas de prendre la place d’emplois existants mais de proposer des activités, un accompagnement supplémentaires, poursuit-il.
Et, pourquoi pas, de trouver sa voie, à l’instar d’Amélie, qui a choisi de devenir psychomotricienne après avoir accompagné pendant quelques mois les résidents d’un Ehpad à Châtillon.
De mieux en mieux connu et apprécié – par plus de 9 Français sur 10 –, le service civique fait désormais partie des leviers incontournables de la solidarité sociale.
Reste maintenant à fournir suffisamment de missions à tous ces jeunes pour atteindre l’objectif annoncé par François Hollande, à savoir la moitié d’une classe d’âge, soit 350 000 personnes en service civique chaque année.
La campagne Merci aux volontaires est actuellement diffusée dans les cinémas et sur internet.