Qualimandat, un nouveau label à domicile
Lancé en 2015 après plusieurs années de préparation, le label Qualimandat a pour objectif de certifier la qualité des services d’aide à domicile fonctionnant selon mode mandataire. Les premières structures ont été labélisées en juillet dernier. Précisions de Jean-Pierre Coudre, directeur d’Atmosphère, l’un des premiers services titulaire du label.
« La démarche répond à plusieurs objectifs : professionnaliser les structures mandataire mais aussi homogénéiser leurs pratiques. »
Pour, in fine, rendre ce mode d’intervention plus lisible, aussi bien aux yeux des professionnels que du grand public.
Six structures sont labélisées pour l’instant, « mais nous aimerions en inscrire 50 à 75 dans la démarche d’ici à un an », précise Jean-Pierre Coudre.
Selon lui, le déficit d’image dont souffre ce mode d’intervention est lié avant tout à un manque de clarté. « Les modes mandataires et prestataires répondent à des besoins différents, mais sont tout aussi intéressants l’un que l’autre », affirme-t-il.
Rappelons qu’en formule prestataire, l’utilisateur règle une facture à une structure qui emploie les aides à domicile, alors qu’en mode mandataire, l’usager est l’employeur des intervenants : il doit donc gérer toutes les formalités avec, généralement, un accompagnement de la part de la structure mandataire.
Pour obtenir le label Qualimandat, les services d’aide à domicile doivent apporter la preuve qu’ils se conforment à 55 au moins des 75 items du référentiel.
Une commission, qui se réunit tous les deux mois, attribue ou non le label, et émet dans tous les cas des recommandations pour améliorer la prestation.
Les critères examinés sont regroupés selon cinq grands axes : l’information du particulier employeur ; le diagnostic des besoins ; le suivi de la relation ; la gestion des ressources humaines ; et enfin l’amélioration continue des pratiques professionnelles.
« La démarche répond à plusieurs objectifs : professionnaliser les structures mandataire mais aussi homogénéiser leurs pratiques. »
Pour, in fine, rendre ce mode d’intervention plus lisible, aussi bien aux yeux des professionnels que du grand public.
Six structures sont labélisées pour l’instant, « mais nous aimerions en inscrire 50 à 75 dans la démarche d’ici à un an », précise Jean-Pierre Coudre.
Selon lui, le déficit d’image dont souffre ce mode d’intervention est lié avant tout à un manque de clarté. « Les modes mandataires et prestataires répondent à des besoins différents, mais sont tout aussi intéressants l’un que l’autre », affirme-t-il.
Rappelons qu’en formule prestataire, l’utilisateur règle une facture à une structure qui emploie les aides à domicile, alors qu’en mode mandataire, l’usager est l’employeur des intervenants : il doit donc gérer toutes les formalités avec, généralement, un accompagnement de la part de la structure mandataire.
Pour obtenir le label Qualimandat, les services d’aide à domicile doivent apporter la preuve qu’ils se conforment à 55 au moins des 75 items du référentiel.
Une commission, qui se réunit tous les deux mois, attribue ou non le label, et émet dans tous les cas des recommandations pour améliorer la prestation.
Les critères examinés sont regroupés selon cinq grands axes : l’information du particulier employeur ; le diagnostic des besoins ; le suivi de la relation ; la gestion des ressources humaines ; et enfin l’amélioration continue des pratiques professionnelles.