Comprendre les fragilités
Alzheimer : le diagnostic, et après ?
A l’annonce du diagnostic, le couperet tombe. Les doutes, les espoirs se transforment en une réalité à laquelle il va désormais falloir faire face. Mais attention, rappelle le docteur Bénédicte Défontaines, directrice du réseau mémoire Aloïs, "ce n’est pas parce que la maladie est incurable qu’il n’y a rien à faire." Ses conseils pour vivre le mieux possible avec la maladie d’Alzheimer.
La neurologue rappelle tout d’abord l’intérêt principal d’obtenir un diagnostic : "avoir un diagnostic, c’est nommer la maladie".
Elle encourage les personnes touchées à faire savoir à leur entourage et aux professionnels de santé le verdict du médecin pour une meilleure compréhension et une meilleure prise en charge.
Vient aussi le temps d’envisager un traitement, mais aussi de se former, de s’informer sur la maladie pour prendre les meilleures décisions possibles. Parmi les sources d’information possible, Bénédicte Défontaines cite notamment le blog de Colette Roumanoff, Bien vivre avec Alzheimer.
Le médecin recommande également aux aidants, conjoints de malades d’entreprendre les mêmes démarches.
Elle conseille aussi de s’intéresser aux thérapies non médicamenteuses. Des méthodes qui reposent sur des disciplines diverses - ergothérapie, orthophonie, psychologie... -, et qui ont fait leurs preuves.
Enfin, rappelle-t-elle, faites-vous entourer, aider. Groupes d’aidants, associations, structures spécialisées comme les accueils de jour, les plateformes de répit… Il en existe désormais dans toute la France. Vous trouverez leurs coordonnées dans notre annuaire.
"Une fois le choc de l’annonce passée, il est plus facile de vivre avec un diagnostic", conclut la neurologue, qui plaide pour un dépistage le plus précoce possible de la maladie.
La neurologue rappelle tout d’abord l’intérêt principal d’obtenir un diagnostic : "avoir un diagnostic, c’est nommer la maladie".
Elle encourage les personnes touchées à faire savoir à leur entourage et aux professionnels de santé le verdict du médecin pour une meilleure compréhension et une meilleure prise en charge.
Vient aussi le temps d’envisager un traitement, mais aussi de se former, de s’informer sur la maladie pour prendre les meilleures décisions possibles. Parmi les sources d’information possible, Bénédicte Défontaines cite notamment le blog de Colette Roumanoff, Bien vivre avec Alzheimer.
Le médecin recommande également aux aidants, conjoints de malades d’entreprendre les mêmes démarches.
Elle conseille aussi de s’intéresser aux thérapies non médicamenteuses. Des méthodes qui reposent sur des disciplines diverses - ergothérapie, orthophonie, psychologie... -, et qui ont fait leurs preuves.
Enfin, rappelle-t-elle, faites-vous entourer, aider. Groupes d’aidants, associations, structures spécialisées comme les accueils de jour, les plateformes de répit… Il en existe désormais dans toute la France. Vous trouverez leurs coordonnées dans notre annuaire.
"Une fois le choc de l’annonce passée, il est plus facile de vivre avec un diagnostic", conclut la neurologue, qui plaide pour un dépistage le plus précoce possible de la maladie.
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