Bien vieillir (prendre soin de soi)
Prendre sa santé en main
Prendre sa santé en main. Qui n'en a pas envie ?
Au regard des risques de maladies, handicaps, incapacités, on a tous envie de grandir, de vieillir en bonne santé.
La journée mondiale de l'ostéoporose nous invite à bien manger et bien bouger chaque jour. La grippe qui arrive invite à la vaccination. A Montpellier, des étudiants dentistes soignent les seniors gratuitement.
Face à certaines maladies complexes, on veut d'informer, se former (voir le mooc sur la maladie d'Alzheimer que nous présentons cette semaine). Dans le monde plus de 160 000 applications en ligne, pour smartphones, qui nous invitent à bien manger, bien dormir, bien pratiquer une activité physique quotidienne, bien prendre nos médicaments si on est malade... Face au foisonnement, mais aussi face au risque de piratage ou d'utilisation non voulues de nos données personnelles, un kiosque des applications labélisées vient d'être créé.
Et face à un problème médical, le gouvernement vient d'acter la possibilité pour des victimes de se prendre en main, se regrouper en "action de groupe" pour agir en justice. Cette action devra être menée par une association agréée en santé par une Commission nationale d’agrément, indépendante. "Heureusement", souligne Catherine Ollivet de France Alzheimer 93. Elle insiste : "Tous les patients et leurs proches aidants devraient voir leurs droits connus et respectés par tous les acteurs de santé".
La santé passe aussi par un habitat adapté, ouvert, intelligent, sécure (face au monoxyde de carbone notamment), intergénérationnel, voire collectif (habilité à l'aide sociale ou non).
Prendre sa santé en main c'est aussi anticiper la perte d'autonomie, la vulnérabilité, les handicaps, voire les obsèques (dont les contrats ont été passé au crible par le magazine 60 millions de consommateurs). Ecrire ses directives anticipées, désigner sa personne de confiance et son futur tuteur ne sont pas encore des réflexes partagés. Sachant que "la protection juridique des personnes vulnérables est défaillante en France" comme le pointe un rapport sévère de la Cour des comptes, après celui du Défenseur des droits.
Individuellement, collectivement, on a envie et intérêt de prendre soin de soi, de sa santé.
C'est un enjeu là encore politique, au sens noble du terme, à la veille de nouvelles échéances électorales.
Au regard des risques de maladies, handicaps, incapacités, on a tous envie de grandir, de vieillir en bonne santé.
La journée mondiale de l'ostéoporose nous invite à bien manger et bien bouger chaque jour. La grippe qui arrive invite à la vaccination. A Montpellier, des étudiants dentistes soignent les seniors gratuitement.
Face à certaines maladies complexes, on veut d'informer, se former (voir le mooc sur la maladie d'Alzheimer que nous présentons cette semaine). Dans le monde plus de 160 000 applications en ligne, pour smartphones, qui nous invitent à bien manger, bien dormir, bien pratiquer une activité physique quotidienne, bien prendre nos médicaments si on est malade... Face au foisonnement, mais aussi face au risque de piratage ou d'utilisation non voulues de nos données personnelles, un kiosque des applications labélisées vient d'être créé.
Et face à un problème médical, le gouvernement vient d'acter la possibilité pour des victimes de se prendre en main, se regrouper en "action de groupe" pour agir en justice. Cette action devra être menée par une association agréée en santé par une Commission nationale d’agrément, indépendante. "Heureusement", souligne Catherine Ollivet de France Alzheimer 93. Elle insiste : "Tous les patients et leurs proches aidants devraient voir leurs droits connus et respectés par tous les acteurs de santé".
La santé passe aussi par un habitat adapté, ouvert, intelligent, sécure (face au monoxyde de carbone notamment), intergénérationnel, voire collectif (habilité à l'aide sociale ou non).
Prendre sa santé en main c'est aussi anticiper la perte d'autonomie, la vulnérabilité, les handicaps, voire les obsèques (dont les contrats ont été passé au crible par le magazine 60 millions de consommateurs). Ecrire ses directives anticipées, désigner sa personne de confiance et son futur tuteur ne sont pas encore des réflexes partagés. Sachant que "la protection juridique des personnes vulnérables est défaillante en France" comme le pointe un rapport sévère de la Cour des comptes, après celui du Défenseur des droits.
Individuellement, collectivement, on a envie et intérêt de prendre soin de soi, de sa santé.
C'est un enjeu là encore politique, au sens noble du terme, à la veille de nouvelles échéances électorales.