Comprendre les fragilités
Maladie de Parkinson : repos, sommeil et activité physique
Selon France Parkinson, plus de 50 % des malades souffrent d’insomnie chronique (longues périodes de réveil la nuit, réveils très matinaux). Ces troubles du sommeil, mais aussi l’anxiété et les traitements peuvent engendrer une grande fatigue. Difficile, dans ces conditions, de se motiver pour faire de l’exercice. Pourtant, rester actif contribue à l’amélioration de la qualité de vie. Nos conseils pour mieux dormir et choisir une activité physique adaptée.
Pour trouver le sommeil plus facilement, adoptez des horaires de coucher régulier, faites de la chambre un endroit calme et apaisant, avec une température adaptée, éviter les excitants après 16 heures… bref, mettez toutes les chances de votre côté en suivant les recommandations des spécialistes.
Au réveil, aidez-vous par une échelle de corde pour vous redresser. Vous pouvez aussi vous placer en chien de fusil sur le côté, laisser tomber vos pieds hors du lit et prendre appui sur le coude pour vous redresser ensuite.
Durant la journée, des siestes courtes – 20 minutes, et jamais plus d’une heure – sont excellentes pour retrouver du tonus et réparer une insomnie. Essayez dans la mesure du possible de faire la sieste l’après-midi, toujours à la même heure.
Les troubles du sommeil – réveils brusques accompagnés de blocages et contractures - sont toutefois fréquents et il convient d’en parler avec votre neurologue.
La pratique d’une activité physique régulière a elle aussi un impact positif sur le sommeil, mais aussi sur le moral (lutte contre la dépression), le transit intestinal et plus généralement le maintien de la santé.
Par ailleurs, de nombreux médecins estiment qu’une activité physique contribue à ralentir la progression de la maladie.
La marche est le meilleur des sports pour toute personne non sportive. La marche rapide, la natation ou le vélo influent positivement sur la lenteur et la rigidité, caractéristiques de la maladie de Parkinson.
Les activités de souplesse (tai chi, étirements…) et de renforcement musculaire (entretien du jardin) aident à retrouver une plus grande mobilité et une meilleure posture.
Les exercices d’équilibre vous permettront quant à eux de réduire le risque de chute. Le yoga est particulièrement conseillé, car il vous aidera aussi à vous détendre et à gérer votre stress, qui a un effet déclencheur sur les symptômes de la maladie.
Dans cette optique, vous pouvez aussi vous intéresser aux techniques de relaxation : sophrologie, respiration abdominale…
Et s’il est essentiel de rester actif, attention à ne pas accomplir d’efforts disproportionnés pour ne pas déclencher les symptômes les plus pénibles de la maladie.
Les périodes de repos sont importantes pour vous-même comme pour votre entourage.
Retrouver un meilleur sommeil
Pour trouver le sommeil plus facilement, adoptez des horaires de coucher régulier, faites de la chambre un endroit calme et apaisant, avec une température adaptée, éviter les excitants après 16 heures… bref, mettez toutes les chances de votre côté en suivant les recommandations des spécialistes.Au réveil, aidez-vous par une échelle de corde pour vous redresser. Vous pouvez aussi vous placer en chien de fusil sur le côté, laisser tomber vos pieds hors du lit et prendre appui sur le coude pour vous redresser ensuite.
Durant la journée, des siestes courtes – 20 minutes, et jamais plus d’une heure – sont excellentes pour retrouver du tonus et réparer une insomnie. Essayez dans la mesure du possible de faire la sieste l’après-midi, toujours à la même heure.
Les troubles du sommeil – réveils brusques accompagnés de blocages et contractures - sont toutefois fréquents et il convient d’en parler avec votre neurologue.
Activité physique : rester actif pour une meilleure qualité de vie
La pratique d’une activité physique régulière a elle aussi un impact positif sur le sommeil, mais aussi sur le moral (lutte contre la dépression), le transit intestinal et plus généralement le maintien de la santé.Par ailleurs, de nombreux médecins estiment qu’une activité physique contribue à ralentir la progression de la maladie.
La marche est le meilleur des sports pour toute personne non sportive. La marche rapide, la natation ou le vélo influent positivement sur la lenteur et la rigidité, caractéristiques de la maladie de Parkinson.
Les activités de souplesse (tai chi, étirements…) et de renforcement musculaire (entretien du jardin) aident à retrouver une plus grande mobilité et une meilleure posture.
Les exercices d’équilibre vous permettront quant à eux de réduire le risque de chute. Le yoga est particulièrement conseillé, car il vous aidera aussi à vous détendre et à gérer votre stress, qui a un effet déclencheur sur les symptômes de la maladie.
Dans cette optique, vous pouvez aussi vous intéresser aux techniques de relaxation : sophrologie, respiration abdominale…
Et s’il est essentiel de rester actif, attention à ne pas accomplir d’efforts disproportionnés pour ne pas déclencher les symptômes les plus pénibles de la maladie.
Les périodes de repos sont importantes pour vous-même comme pour votre entourage.
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