Bien-vieillir à Namur, c'est pas du cinéma pour Benoit Poelvoorde
L'Université de Namur (en Belgique) vient de se voir offrir une bien jolie campagne. En effet, l'acteur Benoit Poelvoorde, et sa maman, Jacqueline Pappaert, s'affichent pour soutenir l'appel aux dons, destiné à mener des recherches sur le bien-vieillir.
Près de 200 ans après sa création, l'Université lance en effet une campagne de levée de fonds afin de soutenir ses ambitions tant en matière de recherche et d'enseignement qu'en matière de valorisation du patrimoine et de coopération avec les pays du Sud.
Ces fonds permettront de financer trois projets de recherche visant à améliorer le bien-être des personnes âgées et de leur entourage :
- "On a l'âge de ses artères" : prévenir et guérir l'athérosclérose
L’athérosclérose est une maladie liée au vieillissement des artères : avec l’âge, les vaisseaux se bouchent progressivement, ce qui augmente le risque de thrombose, d’embolie, d’infarctus et d’accident cérébro-vasculaire. Il s’agit de la première cause de mortalité en Belgique. Face à ce constat, il nous est possible d’agir concrètement en adaptant notre mode de vie afin de prévenir le développement de l’athérosclérose.
- Redessiner la place des personnes âgées et de leurs proches dans la société
La problématique du vieillissement concerne toutes les générations : les seniors, des plus jeunes aux plus âgés, mais également leur entourage qui doit faire face à l’accompagnement d’un conjoint ou d’un parent malade ou devenu moins autonome. Avec l’allongement de la durée de vie, il est indispensable de reconsidérer la place de la personne âgée et de ses aidants proches dans notre société, afin de reconnaître leur expérience de la dépendance et d’apporter des solutions réalistes aux problèmes rencontrés au quotidien par les seniors et leurs familles.
-Vaincre la résistance du cancer aux traitements
Le risque de développer un cancer augmente fortement avec l’âge : environ 65 % des femmes et 76 % des hommes ont au moins 60 ans au moment du diagnostic. L’allongement de la durée de vie entraîne donc inévitablement une augmentation importante du nombre de cas de cancer. Cette tendance s’accentuera encore dans les années à venir. Les cancers les plus fréquents (poumons, colon, pancréas…) sont aussi ceux que l’on guérit le plus difficilement, car ils résistent souvent aux traitements conventionnels (par chimiothérapie ou radiothérapie). Il est donc indispensable de soutenir la recherche de thérapies plus efficaces et moins nocives.
Pour faire un don en ligne, c'est ici.
Près de 200 ans après sa création, l'Université lance en effet une campagne de levée de fonds afin de soutenir ses ambitions tant en matière de recherche et d'enseignement qu'en matière de valorisation du patrimoine et de coopération avec les pays du Sud.
Ces fonds permettront de financer trois projets de recherche visant à améliorer le bien-être des personnes âgées et de leur entourage :
- "On a l'âge de ses artères" : prévenir et guérir l'athérosclérose
L’athérosclérose est une maladie liée au vieillissement des artères : avec l’âge, les vaisseaux se bouchent progressivement, ce qui augmente le risque de thrombose, d’embolie, d’infarctus et d’accident cérébro-vasculaire. Il s’agit de la première cause de mortalité en Belgique. Face à ce constat, il nous est possible d’agir concrètement en adaptant notre mode de vie afin de prévenir le développement de l’athérosclérose.
- Redessiner la place des personnes âgées et de leurs proches dans la société
La problématique du vieillissement concerne toutes les générations : les seniors, des plus jeunes aux plus âgés, mais également leur entourage qui doit faire face à l’accompagnement d’un conjoint ou d’un parent malade ou devenu moins autonome. Avec l’allongement de la durée de vie, il est indispensable de reconsidérer la place de la personne âgée et de ses aidants proches dans notre société, afin de reconnaître leur expérience de la dépendance et d’apporter des solutions réalistes aux problèmes rencontrés au quotidien par les seniors et leurs familles.
-Vaincre la résistance du cancer aux traitements
Le risque de développer un cancer augmente fortement avec l’âge : environ 65 % des femmes et 76 % des hommes ont au moins 60 ans au moment du diagnostic. L’allongement de la durée de vie entraîne donc inévitablement une augmentation importante du nombre de cas de cancer. Cette tendance s’accentuera encore dans les années à venir. Les cancers les plus fréquents (poumons, colon, pancréas…) sont aussi ceux que l’on guérit le plus difficilement, car ils résistent souvent aux traitements conventionnels (par chimiothérapie ou radiothérapie). Il est donc indispensable de soutenir la recherche de thérapies plus efficaces et moins nocives.
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