Nouveau facteur protecteur d'Alzheimer : l'altitude ?

On commence à connaître certains facteurs protecteurs contre la maladie d’Alzheimer (activité physique, vie sociale développée, travail cognitif…) mais des chercheurs s’intéressent à une nouvelle possibilité : la vie en altitude !
Une étude menée dans toute la Californie s’est intéressée à l’impact de l’altitude du lieu de vie sur le risque de mortalité suite à la maladie d’Alzheimer – ou plus exactement au rôle de l’hypoxie (baisse de la quantité d’oxygène disponible) sur la dégénérescence cérébrale. Elle a montré que le taux de mortalité due à une démence à 1800 mètres d’altitude (plus haut point en Californie) était inférieur de moitié à celui qui existait à 15m d’altitude. Une piste d’explication possible serait l’habituation au manque d’oxygène, qui inhiberait la production de nitrite d’azote (en cause dans le stress oxydatif et donc les maladies neurodégénératives).
Il s’agit d’une première étude sur ce sujet et les résultats demandent à être confirmés, donc ne déménagez pas immédiatement dans les Alpes (ou alors seulement pour vous faire plaisir) !
Une étude menée dans toute la Californie s’est intéressée à l’impact de l’altitude du lieu de vie sur le risque de mortalité suite à la maladie d’Alzheimer – ou plus exactement au rôle de l’hypoxie (baisse de la quantité d’oxygène disponible) sur la dégénérescence cérébrale. Elle a montré que le taux de mortalité due à une démence à 1800 mètres d’altitude (plus haut point en Californie) était inférieur de moitié à celui qui existait à 15m d’altitude. Une piste d’explication possible serait l’habituation au manque d’oxygène, qui inhiberait la production de nitrite d’azote (en cause dans le stress oxydatif et donc les maladies neurodégénératives).
Il s’agit d’une première étude sur ce sujet et les résultats demandent à être confirmés, donc ne déménagez pas immédiatement dans les Alpes (ou alors seulement pour vous faire plaisir) !