La France, dixième pays sur 80 en matière de soins palliatifs
C’est une étude menée par The Economist Intelligence Unit (groupe d’étude appartenant à The Economist, la publication britannique) dans 80 pays et intitulée « l'index 2015 de la qualité de la mort, classement des soins palliatifs à travers le monde ». Et elle place la France 10ème dans ce classement, derrière le Royaume-Uni, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, l’Irlande, la Belgique, Taiwan, l’Allemagne, les Pays-Bas et les Etats-Unis.
Ce sont 20 indicateurs qualitatifs et quantitatifs qui ont été retenus (et divisés en 5 catégories : environnement médical et palliatif, ressources humaines, prix abordables ou non, qualité du soin et niveau d’engagement de la communauté).
Le manque de formation initiale des médecins en soins palliatifs est pointé du doigt pour la France, de même que le manque de reconnaissance (financière et de statut) pour les infirmières qui présentent une spécialisation en soins palliatifs. Il est aussi précisé que des barrières réglementaires existent quant à l’aide que peuvent apporter les bénévoles (dont la formation est longue, et les activités qu’ils ont le droit de réaliser limitées).
Parmi les derniers du classement, on trouve l’Irak, le Bangladesh, les Philippines, et le Nigeria.
Pour lire le rapport complet (en anglais), cliquez ici.
Les soins palliatifs en France continuent de se développer.
A noter que le Fonds pour les soins palliatifs a besoin de trouver de nouveaux financements. Une campagne de crowdfunding a donc été lancée le 11 octobre, Journée Mondiale des soins palliatifs, sur KissKissBankBank, afin d’assurer le financement de quatre projets d’approches non médicamenteuses, mais aussi de renforcer l’action de sensibilisation du grand public et des professionnels de santé à l’importance du développement des soins palliatifs en France.
Pour diffuser cette information ou faire un don, c’est ici.
Ce sont 20 indicateurs qualitatifs et quantitatifs qui ont été retenus (et divisés en 5 catégories : environnement médical et palliatif, ressources humaines, prix abordables ou non, qualité du soin et niveau d’engagement de la communauté).
Le manque de formation initiale des médecins en soins palliatifs est pointé du doigt pour la France, de même que le manque de reconnaissance (financière et de statut) pour les infirmières qui présentent une spécialisation en soins palliatifs. Il est aussi précisé que des barrières réglementaires existent quant à l’aide que peuvent apporter les bénévoles (dont la formation est longue, et les activités qu’ils ont le droit de réaliser limitées).
Parmi les derniers du classement, on trouve l’Irak, le Bangladesh, les Philippines, et le Nigeria.
Pour lire le rapport complet (en anglais), cliquez ici.
Les soins palliatifs en France continuent de se développer.
A noter que le Fonds pour les soins palliatifs a besoin de trouver de nouveaux financements. Une campagne de crowdfunding a donc été lancée le 11 octobre, Journée Mondiale des soins palliatifs, sur KissKissBankBank, afin d’assurer le financement de quatre projets d’approches non médicamenteuses, mais aussi de renforcer l’action de sensibilisation du grand public et des professionnels de santé à l’importance du développement des soins palliatifs en France.
Pour diffuser cette information ou faire un don, c’est ici.