Trouver son lieu de vie
Le parcours résidentiel du domicile à l'ehpad
Plus de 8 personnes sur 10 veulent vieillir chez elles.
Mais qu'en est-il quand ce domicile devient trop grand (trop cher), éloigné de tous et de tout, insécure, inaccessible, mal isolé et donc dévoreur d'énergies ?
Direct à la maison de retraite ?
Dans notre inconscient collectif, on oppose encore facilement "domicile" et "maison de retraite", celle qui est médicalisée, mal vécue (expériences douloureuses de proches), mal ressentie (repoussoir, "mouroir") et beaucoup trop chère (2.200 euros en moyenne de "reste à charge") et ce, malgré les superbes initiatives qu'Agevillage raconte chaque semaine.
L'objectif est bien de vieillir chez soi, d'adapter son logement (voir "J'aménage mon Logement" créé pour le Prif par Agevillage et voir ces collectivités qui proposent des logements individuels adaptés). Mais un des enjeux vitaux est d'éviter de se retrouver trop isolé : voir les nombreuses initatives encore cette semaine en Midi-Pyrénées, en Seine et Marne, en Vendée.
L'idée fait son chemin d'entrer dans une "résidence" de plusieurs dizaines de logements, dans des "petites unités de vie", des "béguinages", des MARPA, voire des "villages seniors", non médicalisés. Un senior sur deux s'imagine même vivre en habitat collectif selon une étude.
Des offres publiques, associatives, HLM, privées se déploient. Voir notre dossier cette semaine qui présente ces différentes offres d'habitats collectifs.
Certaines résidences proposent encore des appartements à la vente, mais aujourd'hui la tendance est à la location d'un appartement adapté, domotisé, sécurisé, où l'on bénéficie d'espaces collectifs, de rencontres entre voisins, où des animations (payantes ou non) s'organisent.
Des services à la carte sont accessibles à toutes les bourses : repas, télé-assistance, ménage...
Si le besoin en soins devient trop lourd, on déménagera alors vers un établissement médicalisé.
N'hésitez pas à visiter : des journées portes-ouvertes s'organisent partout. Agevillage répertorie ces nouvelles formes d'habitats intermédiaires dans son annuaire.
Le parcours résidentiel s'invente et se diversifie. Il demandera à être "labellisé" par les pouvoirs publics (contrats, tarifs...) pour être totalement rassurant.
Mais qu'en est-il quand ce domicile devient trop grand (trop cher), éloigné de tous et de tout, insécure, inaccessible, mal isolé et donc dévoreur d'énergies ?
Direct à la maison de retraite ?
Dans notre inconscient collectif, on oppose encore facilement "domicile" et "maison de retraite", celle qui est médicalisée, mal vécue (expériences douloureuses de proches), mal ressentie (repoussoir, "mouroir") et beaucoup trop chère (2.200 euros en moyenne de "reste à charge") et ce, malgré les superbes initiatives qu'Agevillage raconte chaque semaine.
L'objectif est bien de vieillir chez soi, d'adapter son logement (voir "J'aménage mon Logement" créé pour le Prif par Agevillage et voir ces collectivités qui proposent des logements individuels adaptés). Mais un des enjeux vitaux est d'éviter de se retrouver trop isolé : voir les nombreuses initatives encore cette semaine en Midi-Pyrénées, en Seine et Marne, en Vendée.
L'idée fait son chemin d'entrer dans une "résidence" de plusieurs dizaines de logements, dans des "petites unités de vie", des "béguinages", des MARPA, voire des "villages seniors", non médicalisés. Un senior sur deux s'imagine même vivre en habitat collectif selon une étude.
Des offres publiques, associatives, HLM, privées se déploient. Voir notre dossier cette semaine qui présente ces différentes offres d'habitats collectifs.
Certaines résidences proposent encore des appartements à la vente, mais aujourd'hui la tendance est à la location d'un appartement adapté, domotisé, sécurisé, où l'on bénéficie d'espaces collectifs, de rencontres entre voisins, où des animations (payantes ou non) s'organisent.
Des services à la carte sont accessibles à toutes les bourses : repas, télé-assistance, ménage...
Si le besoin en soins devient trop lourd, on déménagera alors vers un établissement médicalisé.
N'hésitez pas à visiter : des journées portes-ouvertes s'organisent partout. Agevillage répertorie ces nouvelles formes d'habitats intermédiaires dans son annuaire.
Le parcours résidentiel s'invente et se diversifie. Il demandera à être "labellisé" par les pouvoirs publics (contrats, tarifs...) pour être totalement rassurant.
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