AMA Diem fait salle comble à Crolles
AMA Diem poursuit son chemin. "Les Maisons de Crolles" sont en construction et devraient accueillir 30 personnes jeunes touchées par une maladie d'Alzheimer début 2016.
En attendant, une journée de formation "Carpe Diem", la deuxième depuis la création de l'association, a été organisée le mardi 31 mars, à Crolles. Ouverte à tous, soignants, familles, personnes malades, elle a réuni près de 400 personnes, curieuses de découvrir un accompagnement plus humain de ces personnes.
Durant la journée, des experts (médecins, psycholgues, personnes malades) ont accepté de réagir à des mises en situations. Diverses saynètes ont ainsi été proposées sur des thèmes partagés par tous : l'annonce du diagnostic, l'intervention à domicile (comment aider la personne à ouvrir sa port ?, comprendre la difficulté qu'elle peut ressentir, le renoncement à faire seul), l'hébergement (comment aider les personnes à se sentir bien dans un lieu d'hébergement ?).
Pour Sophie Ballas, vice présidente de l'association, "ces rassemblements visent à favoriser la compréhension de ce que ressent la personne malade. Si on se mettait dans la peau de l'autre, on réagirait sûrement différemment. La salle, très hétérogène, était composée de soignants mais aussi de familles touchées par cette maladie, ou par un handicap, que ces familles soient ou non accompagnées par Ama Diem. Les réactions ont été nombreuses et les débats engagés. Et depuis, nous recevons beaucoup de messages. Preuve s'il en faut que ces questions et les réponses proposées interrogent. D'autant qu'une équipe venue du Québec a accepté de partager son expérience. Passionnant !"
La soirée, axée sur le "vivre ensemble" avec et malgré la maladie, a permis de représenter concrètement le projet des Maisons dans la ville et d'inviter les participants à y apporter leur contribution.
En savoir plus sur amadiem
En attendant, une journée de formation "Carpe Diem", la deuxième depuis la création de l'association, a été organisée le mardi 31 mars, à Crolles. Ouverte à tous, soignants, familles, personnes malades, elle a réuni près de 400 personnes, curieuses de découvrir un accompagnement plus humain de ces personnes.
Durant la journée, des experts (médecins, psycholgues, personnes malades) ont accepté de réagir à des mises en situations. Diverses saynètes ont ainsi été proposées sur des thèmes partagés par tous : l'annonce du diagnostic, l'intervention à domicile (comment aider la personne à ouvrir sa port ?, comprendre la difficulté qu'elle peut ressentir, le renoncement à faire seul), l'hébergement (comment aider les personnes à se sentir bien dans un lieu d'hébergement ?).
Pour Sophie Ballas, vice présidente de l'association, "ces rassemblements visent à favoriser la compréhension de ce que ressent la personne malade. Si on se mettait dans la peau de l'autre, on réagirait sûrement différemment. La salle, très hétérogène, était composée de soignants mais aussi de familles touchées par cette maladie, ou par un handicap, que ces familles soient ou non accompagnées par Ama Diem. Les réactions ont été nombreuses et les débats engagés. Et depuis, nous recevons beaucoup de messages. Preuve s'il en faut que ces questions et les réponses proposées interrogent. D'autant qu'une équipe venue du Québec a accepté de partager son expérience. Passionnant !"
La soirée, axée sur le "vivre ensemble" avec et malgré la maladie, a permis de représenter concrètement le projet des Maisons dans la ville et d'inviter les participants à y apporter leur contribution.
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