Soins palliatifs plutôt qu'injection mortelle
Un sondage, réalisé les 16 et 17 décembre 2014, publié dans le quotidien Ouest-France et repris par l'Agence France Presse, révèle qu'entre soins palliatifs et injection mortelle, les Français choisissent la première option à 53% pour parvenir à "une fin de vie apaisée". Selon ce sondage, réalisé peu après la remise à François Hollande d'un rapport sur la fin de vie par les députés Alain Clays (PS) et Jean Leonetti (UMP), l'injection mortelle est préférée par 47% des personnes interrogées.
Les sondés se prononcent massivement (95%) pour le développement des soins palliatifs, y compris à domicile ou en maison de retraite, pour améliorer l'accompagnement des personnes en fin de vie.
Mais le sondage fait également apparaître que les personnes interrogées sont imparfaitement au courant des dispositions de la loi Leonetti de 2005. Seules 52% sont au courant de l'obligation faite aux médecins de respecter la liberté des personnes souffrant de maladies incurables et douloureuses de ne pas être maintenues artificiellement en vie. De même, 55% des sondés connaissent l'obligation des médecins à soulager toutes les douleurs même si le traitement a comme effet d'accélérer la survenue du décès.
A l'heure où va s'ouvrir le débat sur la fin de vie, pour aider les personnels soignants, confrontés à ces délicates questions, et permettre aux malades comme à leurs proches de nommer leur personne de confiance et de rédiger leurs directives anticipées, le réseau régional champagne-ardenne de soins palliatifs, RéCAP, vient de réaliser en collaboration avec le CISS un dépliant simple. Il aborde de manière claire les enjeux de ces actes et la procédure à suivre pour exprimer ses volontés.
Pour télécharger :
Le Dépliant 4 pages destiné au grand public
Le formulaire Personne de confiance
Le formulaire Directives anticipées à remplir
Les sondés se prononcent massivement (95%) pour le développement des soins palliatifs, y compris à domicile ou en maison de retraite, pour améliorer l'accompagnement des personnes en fin de vie.
Mais le sondage fait également apparaître que les personnes interrogées sont imparfaitement au courant des dispositions de la loi Leonetti de 2005. Seules 52% sont au courant de l'obligation faite aux médecins de respecter la liberté des personnes souffrant de maladies incurables et douloureuses de ne pas être maintenues artificiellement en vie. De même, 55% des sondés connaissent l'obligation des médecins à soulager toutes les douleurs même si le traitement a comme effet d'accélérer la survenue du décès.
A l'heure où va s'ouvrir le débat sur la fin de vie, pour aider les personnels soignants, confrontés à ces délicates questions, et permettre aux malades comme à leurs proches de nommer leur personne de confiance et de rédiger leurs directives anticipées, le réseau régional champagne-ardenne de soins palliatifs, RéCAP, vient de réaliser en collaboration avec le CISS un dépliant simple. Il aborde de manière claire les enjeux de ces actes et la procédure à suivre pour exprimer ses volontés.
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