Michèle Delaunay s'intéresse à la conduite des seniors
Michèle Delaunay s'est rendue le 26 novembre dernier à Lyon pour assister à une séance de prévention destinée aux conducteurs seniors et organisée par le comité du Rhône de La Prévention Routière.
Ces séances ont pour objectifs d'aider les seniors à se déplacer seuls et en toute sécurité le plus longtemps possible, à pied, en voiture, ou même à vélo. En 2012, 25 000 personnes ont été sensibilisés. Selon Jean-Yves Salaün, secrétaire général de l'association, la demande est venue de la ministre elle-même, convaincue qu'il ne faut pas stigmatiser les plus âgés mais les aider à rester indépendants.
La Prévention Routière insiste en effet pour dire que les plus de 65 ans sont surtout des victimes d'accidents de la circulation, et non pas comme certains l'affirment les responsables. L'âge ne serait donc pas un facteur de risque au volant, même si les accidents ont pour eux, de par leur vulnérabilité aux chocs et aux blessures, des conséquences plus graves.
De son côté, l'Observatoire de l'âgisme, créé en 2008 pour favoriser la réflexion autour des discriminations liées à l'âge, s'est réjoui des positions affichées par Michèle Delaunay à l'occasion de sa participation aux 26è entretiens du Centre Jacques Cartier consacrés aux "Ainés et à la Sécurité Routière". Elle y a en effet réaffirmé que l'âge n'est pas un motif de dangerosité au volant : c'est l'état de santé individuel qui doit être pris en compte (maladies, prises de substances, alcool, effets de certains médiacments...). Si un examen médical devait être poposé, l'Observatoire rappelle qu'il devrait être passé par tous, quelque soit son âge.
Ces séances ont pour objectifs d'aider les seniors à se déplacer seuls et en toute sécurité le plus longtemps possible, à pied, en voiture, ou même à vélo. En 2012, 25 000 personnes ont été sensibilisés. Selon Jean-Yves Salaün, secrétaire général de l'association, la demande est venue de la ministre elle-même, convaincue qu'il ne faut pas stigmatiser les plus âgés mais les aider à rester indépendants.
La Prévention Routière insiste en effet pour dire que les plus de 65 ans sont surtout des victimes d'accidents de la circulation, et non pas comme certains l'affirment les responsables. L'âge ne serait donc pas un facteur de risque au volant, même si les accidents ont pour eux, de par leur vulnérabilité aux chocs et aux blessures, des conséquences plus graves.
De son côté, l'Observatoire de l'âgisme, créé en 2008 pour favoriser la réflexion autour des discriminations liées à l'âge, s'est réjoui des positions affichées par Michèle Delaunay à l'occasion de sa participation aux 26è entretiens du Centre Jacques Cartier consacrés aux "Ainés et à la Sécurité Routière". Elle y a en effet réaffirmé que l'âge n'est pas un motif de dangerosité au volant : c'est l'état de santé individuel qui doit être pris en compte (maladies, prises de substances, alcool, effets de certains médiacments...). Si un examen médical devait être poposé, l'Observatoire rappelle qu'il devrait être passé par tous, quelque soit son âge.