Aidants : que faire face à l'agitation d'un proche ?
Les aidants qui accompagnent une personne atteinte de troubles cognitifs le savent : parfois, leur proche devient très agité, sans pouvoir exprimer ce qui le trouble. Conseils pour gérer ce type de situations.
Ce sont des scènes qui laissent démuni : tout semble bien se passer quand tout à coup, votre proche s’agite, crie, veut se lever et partir…
Une situation courante, difficile, épuisante, à laquelle il faudra trouver des solutions.
Pour apaiser, faire redescendre l’angoisse, il peut être utile de mobiliser l’attention de la personne agitée sur un objet, une chanson, un moment positif de son histoire de vie. On peut aussi utiliser la nourriture, proposer un carré de chocolat, bref, s’appuyer sur un élément source de plaisir pour la personne.
Sans oublier des gestes tendres, doux, des paroles, des regards chaleureux, bienveillants et tendres.
Pour un quotidien plus serein, il faudra aussi travailler sur les causes de cette agitation, ses éléments déclencheurs.
S’ils ne sont pas évident au premier abord, prenez le temps de lister, dans un carnet, tout ce qui s’est produit en amont de la scène, de détailler le contexte : y’a-t-il eu un bruit particulier ? Quel sujet avez-vous abordé ? Votre proche était-il fatigué, avait-il faim ? Quelle heure était-il ?
Coucher ces informations sur le papier vous aidera à les recouper et mieux comprendre ce qui a causé la situation.
Vous pouvez aussi noter les solutions que vous avez utilisées et qui fonctionnent, et le contexte dans lequel se déroulent les moments positifs : il vous sera plus facile, ensuite, de trouver la bonne réponse.
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Alzheimer : cinq conseils pour un quotidien plus apaisé
Ce sont des scènes qui laissent démuni : tout semble bien se passer quand tout à coup, votre proche s’agite, crie, veut se lever et partir…
Une situation courante, difficile, épuisante, à laquelle il faudra trouver des solutions.
Sur le moment : miser sur la diversion
Pour apaiser, faire redescendre l’angoisse, il peut être utile de mobiliser l’attention de la personne agitée sur un objet, une chanson, un moment positif de son histoire de vie. On peut aussi utiliser la nourriture, proposer un carré de chocolat, bref, s’appuyer sur un élément source de plaisir pour la personne.
Sans oublier des gestes tendres, doux, des paroles, des regards chaleureux, bienveillants et tendres.
Phase deux : comprendre pour prévenir
Pour un quotidien plus serein, il faudra aussi travailler sur les causes de cette agitation, ses éléments déclencheurs.
S’ils ne sont pas évident au premier abord, prenez le temps de lister, dans un carnet, tout ce qui s’est produit en amont de la scène, de détailler le contexte : y’a-t-il eu un bruit particulier ? Quel sujet avez-vous abordé ? Votre proche était-il fatigué, avait-il faim ? Quelle heure était-il ?
Coucher ces informations sur le papier vous aidera à les recouper et mieux comprendre ce qui a causé la situation.
Vous pouvez aussi noter les solutions que vous avez utilisées et qui fonctionnent, et le contexte dans lequel se déroulent les moments positifs : il vous sera plus facile, ensuite, de trouver la bonne réponse.
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