Isolement : une problématique mondiale
L’isolement des personnes âgées, qui touche 300 000 Français âgés de 60 ans est plus, tend à devenir une réalité dans tous les pays du monde. Pistes de solutions.
C’est l’un des principaux enseignements du congrès international des Petits frères des pauvres, qui s’est tenu fin mai.
Dans tous les pays représentés (Canada, USA, Mexique, Espagne, Irlande, Suisse, Allemagne, Pologne, Roumanie, France, Inde et Belgique), quels que soient les modèles de solidarité, les traditions culturelles, l’isolement des aînés prend de l’ampleur.
« Il faut sortir des idées reçues qu’on a sur certains pays où culturellement on prend soin des membres âgés de la société. La dispersion des familles, pour des raisons économiques, et l’extrême pauvreté dans certains endroits, font que ce n’est plus vrai aujourd’hui », explique Isabelle Sénécal, des Petits frères des pauvres.
Alors, que faire ? Chaque pays tente de trouver des solutions adaptées à sa culture.
Le Canada, par exemple, mise sur le numériques pour sortir les personnes âgées de l’isolement. En Espagne, on interpelle les pouvoirs publics. L’Angleterre sensibilise ses citoyens, et a nommé en janvier dernier une ministre, Tracey Crouch, chargée de la lutte contre la solitude.
En France, ce sont principalement les associations qui se mobilisent, comme les Petits frères des pauvres avec Voisin-age, les Veilleurs solidaires à Paris ou Voisins solidaires.
En janvier dernier, l’association Astrée organisait même une première journée des solitudes.
Sans oublier l’initiative Monalisa, portée par les pouvoirs publics mais animée par des citoyens solidaires.
D’autres pistes pour lutter contre la solitude et l’isolement :
C’est l’un des principaux enseignements du congrès international des Petits frères des pauvres, qui s’est tenu fin mai.
Dans tous les pays représentés (Canada, USA, Mexique, Espagne, Irlande, Suisse, Allemagne, Pologne, Roumanie, France, Inde et Belgique), quels que soient les modèles de solidarité, les traditions culturelles, l’isolement des aînés prend de l’ampleur.
« Il faut sortir des idées reçues qu’on a sur certains pays où culturellement on prend soin des membres âgés de la société. La dispersion des familles, pour des raisons économiques, et l’extrême pauvreté dans certains endroits, font que ce n’est plus vrai aujourd’hui », explique Isabelle Sénécal, des Petits frères des pauvres.
Alors, que faire ? Chaque pays tente de trouver des solutions adaptées à sa culture.
Le Canada, par exemple, mise sur le numériques pour sortir les personnes âgées de l’isolement. En Espagne, on interpelle les pouvoirs publics. L’Angleterre sensibilise ses citoyens, et a nommé en janvier dernier une ministre, Tracey Crouch, chargée de la lutte contre la solitude.
En France, ce sont principalement les associations qui se mobilisent, comme les Petits frères des pauvres avec Voisin-age, les Veilleurs solidaires à Paris ou Voisins solidaires.
En janvier dernier, l’association Astrée organisait même une première journée des solitudes.
Sans oublier l’initiative Monalisa, portée par les pouvoirs publics mais animée par des citoyens solidaires.
D’autres pistes pour lutter contre la solitude et l’isolement :