Cent seniors pleins de talent montent sur scène à Nantes
Parce qu’il n’y a pas d’âge pour être acteur
Chaque année, ils font salle comble. Le 25 avril, les aînés de la Revue des talents comptent bien encore réunir 400 personnes à l’Odyssée, à Orvault près de Nantes, pour un spectacle qui met les femmes à l’honneur. Coup de projecteur sur une initiative pleine de joie et d’entrain.
Il y a eu la disparition de Simone Veil. Puis ces questionnements sur les femmes, leur place dans la société et dans l’histoire qui flottent dans l’air du temps. Le thème était tout trouvé. En 2018, les artistes de la Revue des Talents mettront les femmes à la une pour leur spectacle annuel.
Ces artistes, ils viennent des résidences autonomie ou des habitats collectifs gérés par Mutualité Retraite, en Loire-Atlantique.
Depuis 8 ans, ils se réunissent par groupe de 3, 4, 10 ou 30 pour créer et se produire sur scène.
« Une vraie force joyeuse », sourit Marion Quentel, en charge de l’animation du réseau.
Tout au long de l’année, ils imaginent, écrivent, peaufinent un morceau, un texte ou une saynète. Des temps d'échanges, de rencontres avec des résidents d'autres établissements, des bénévoles, des professionnels.
Avant de se retrouver pour les répétitions générales et les filages, qui rassemblent une centaine d’interprètes.
Cette année, les spectateurs pourront assister à une représentation de 2h30 au cours desquelles 12 groupes interviendront.
Au programme, des chansons, des saynètes, des projections, des slams sur les femmes, leur place dans l’histoire, leurs luttes, toujours contées avec force et entrain.
Il y a eu la disparition de Simone Veil. Puis ces questionnements sur les femmes, leur place dans la société et dans l’histoire qui flottent dans l’air du temps. Le thème était tout trouvé. En 2018, les artistes de la Revue des Talents mettront les femmes à la une pour leur spectacle annuel.
Ces artistes, ils viennent des résidences autonomie ou des habitats collectifs gérés par Mutualité Retraite, en Loire-Atlantique.
Depuis 8 ans, ils se réunissent par groupe de 3, 4, 10 ou 30 pour créer et se produire sur scène.
« Une vraie force joyeuse », sourit Marion Quentel, en charge de l’animation du réseau.
Tout au long de l’année, ils imaginent, écrivent, peaufinent un morceau, un texte ou une saynète. Des temps d'échanges, de rencontres avec des résidents d'autres établissements, des bénévoles, des professionnels.
Avant de se retrouver pour les répétitions générales et les filages, qui rassemblent une centaine d’interprètes.
Cette année, les spectateurs pourront assister à une représentation de 2h30 au cours desquelles 12 groupes interviendront.
Au programme, des chansons, des saynètes, des projections, des slams sur les femmes, leur place dans l’histoire, leurs luttes, toujours contées avec force et entrain.