Alenvi, l'aide à domicile nouvelle génération
Le service d’aide à domicile francilien Alenvi, né en 2016, mise sur un fonctionnement original pour mieux accompagner les personnes âgées. Gros plan sur une structure pas comme les autres.
Souvent déconsidérés, les métiers de l’aide à domicile peinent à recruter. Les conditions de travail y sont difficiles, avec, notamment 70 % de temps partiels subis.
Pour les fondateurs d’Alenvi, un cadre de travail épanouissant garantit un meilleur accompagnement des personnes âgées. Familles, professionnels, aidants, bénéficiaires, tout le monde y gagne.
Aussi, Alenvi s’est inspiré de Buurtzorg, au Pays-Bas, pour créer ce service pas comme les autres. Les auxiliaires de vie sont regroupées en petites communautés et travaillent en autonomie : elles se répartissent le travail en fonction du lieu et de la qualité de la relation avec les personnes qu’elles accompagnent, elles établissent elles-mêmes leurs plannings…
Par ailleurs, elles sont formées régulièrement.
Un fonctionnement qui permet à l’entreprise de se passer de coordinateurs, en charge de répartir le travail, mais aussi d’agences. Les économies réalisées servent à mieux rémunérer les professionnels (12 % de plus que le salaire prescrit par la convention collective) et de leur proposer des CDI à temps plein.
Malika Boudarène, qui travaille pour Alenvi depuis deux ans, apprécie cette liberté cette autonomie. Mais aussi d’échanger régulièrement avec ses collègues et de continuer à se former.
Quant aux personnes âgées et à leurs proches, ils sont particulièrement satisfaits de l’accompagnement proposé, et déclarent qu’il a un impact positif sur le bien-être, l’estime de soi et la santé des personnes accompagnées, selon une étude dévoilée la semaine dernière. Mais aussi sur la sérénité et le répit des aidants.
L’heure d’aide à domicile est facturée entre 20 et 25 euros, et peut être couverte en partie par l’allocation personnalisée d’autonomie.
Aujourd’hui, 28 auxiliaires travaillent pour Alenvi, et accompagnent 45 familles. Elles sont réparties en cinq communautés : trois à Paris, une à Sceaux et une à Versailles. Une sixième devrait prochainement être montée à Vincennes.
Un modèle innovant qu’Alenvi espère voir grandir : l’entreprise vise 4025 auxiliaires de vie et 10 127 personnes accompagnées à l’horizon 2025.
Consulter la synthèse de l’étude d’impact
Crédit photo Alenvi
Souvent déconsidérés, les métiers de l’aide à domicile peinent à recruter. Les conditions de travail y sont difficiles, avec, notamment 70 % de temps partiels subis.
Pour les fondateurs d’Alenvi, un cadre de travail épanouissant garantit un meilleur accompagnement des personnes âgées. Familles, professionnels, aidants, bénéficiaires, tout le monde y gagne.
Aussi, Alenvi s’est inspiré de Buurtzorg, au Pays-Bas, pour créer ce service pas comme les autres. Les auxiliaires de vie sont regroupées en petites communautés et travaillent en autonomie : elles se répartissent le travail en fonction du lieu et de la qualité de la relation avec les personnes qu’elles accompagnent, elles établissent elles-mêmes leurs plannings…
Par ailleurs, elles sont formées régulièrement.
Un fonctionnement qui permet à l’entreprise de se passer de coordinateurs, en charge de répartir le travail, mais aussi d’agences. Les économies réalisées servent à mieux rémunérer les professionnels (12 % de plus que le salaire prescrit par la convention collective) et de leur proposer des CDI à temps plein.
Malika Boudarène, qui travaille pour Alenvi depuis deux ans, apprécie cette liberté cette autonomie. Mais aussi d’échanger régulièrement avec ses collègues et de continuer à se former.
Quant aux personnes âgées et à leurs proches, ils sont particulièrement satisfaits de l’accompagnement proposé, et déclarent qu’il a un impact positif sur le bien-être, l’estime de soi et la santé des personnes accompagnées, selon une étude dévoilée la semaine dernière. Mais aussi sur la sérénité et le répit des aidants.
L’heure d’aide à domicile est facturée entre 20 et 25 euros, et peut être couverte en partie par l’allocation personnalisée d’autonomie.
Aujourd’hui, 28 auxiliaires travaillent pour Alenvi, et accompagnent 45 familles. Elles sont réparties en cinq communautés : trois à Paris, une à Sceaux et une à Versailles. Une sixième devrait prochainement être montée à Vincennes.
Un modèle innovant qu’Alenvi espère voir grandir : l’entreprise vise 4025 auxiliaires de vie et 10 127 personnes accompagnées à l’horizon 2025.
Consulter la synthèse de l’étude d’impact
Crédit photo Alenvi