Marchons ensemble : adapter la cité à tous ses usagers
Avec une canne, un déambulateur ou un fauteuil roulant, la moindre sortie peut prendre des allures de course d’obstacles. A Saint-Etienne, quatre jeunes en service civique ont planché presqu’un an sur la question, et proposent aujourd’hui trois parcours de promenade accessibles à tous.
Pour favoriser l’activité physique mais aussi encourager les plus âgés à maintenir un lien social, ces circuits pédestres démarrent tous de maisons de retraite.
Chacun poursuit un objectif spécifique : le parcours balade passe par plusieurs squares ; le parcours lien social, à destination du centre social du quartier et d’autres lieux conviviaux ; et enfin le parcours commerce, pour se rendre au marché et chez les commerçants locaux.
Pour les élaborer, les jeunes ont tout d’abord mené un travail de repérage, en prêtant attention aux obstacles mais aussi aux habitudes des habitants âgés : commerces fréquentés, chemin les plus empruntés, hauteur et largeur des trottoirs, présence de bancs pour faire une pause…
Ils ont aussi interrogé les personnes âgées du quartier, qu’elles vivent chez elles ou en établissement collectif.
Les trois premiers circuits sont désormais balisés, et d’autres sont à l’étude dans d’autres quartiers de la ville.
Les porteurs du projet ont également élaboré un modèle, transposable à d’autres villes. Une façon solidaire de se mettre en marche.
Pour favoriser l’activité physique mais aussi encourager les plus âgés à maintenir un lien social, ces circuits pédestres démarrent tous de maisons de retraite.
Chacun poursuit un objectif spécifique : le parcours balade passe par plusieurs squares ; le parcours lien social, à destination du centre social du quartier et d’autres lieux conviviaux ; et enfin le parcours commerce, pour se rendre au marché et chez les commerçants locaux.
Pour les élaborer, les jeunes ont tout d’abord mené un travail de repérage, en prêtant attention aux obstacles mais aussi aux habitudes des habitants âgés : commerces fréquentés, chemin les plus empruntés, hauteur et largeur des trottoirs, présence de bancs pour faire une pause…
Ils ont aussi interrogé les personnes âgées du quartier, qu’elles vivent chez elles ou en établissement collectif.
Les trois premiers circuits sont désormais balisés, et d’autres sont à l’étude dans d’autres quartiers de la ville.
Les porteurs du projet ont également élaboré un modèle, transposable à d’autres villes. Une façon solidaire de se mettre en marche.