Bien vieillir (prendre soin de soi)
Des idées pour déjeuner en toute convivialité
Le plaisir de passer à table, la convivialité comptent pour beaucoup dans l’alimentation. A quoi bon cuisiner un vrai repas, frais et équilibré, quand on est seul ? Deux jeunes entreprises proposent des solutions pour redonner de la convivialité aux déjeuners des personnes âgées.
Pour que les repas redeviennent des moments de partage, différentes options existaient déjà, comme les restaurants de maison de retraite ouverts aux habitants du quartier, les cantines intergénérationnelles, les restaurants seniors ou les foyers restaurants.
Mais quid des personnes qui ont du mal à se déplacer ? A Bordeaux, Enora Goulard créé Paupiette en 2015, alors qu’elle est étudiante en BTS.
Cette start-up sociale et solidaire a pour vocation de mettre en relation des personnes âgées qui aiment cuisiner et des étudiants pour partager un repas, au domicile du cuisinier ou de la cuisinière.
Les prix sont fixes – 4 euros pour une plat, 5 euros pour une formule entrée/plat ou plat/dessert et 7 euros pour une formule entrée/plat/dessert.
L’idée n’étant pas de gagner de l’argent mais bien de créer du lien, le temps d’un déjeuner partagé, tout en encourageant les plus âgés à se (re)mettre en cuisine et faire bon usage de leur savoir-faire culinaire.
Et ça fonctionne : Paupiette se décline désormais à Paris et à Quimper.
Pour en savoir plus : le site de Paupiette
SnapMiam s’appuie sur le même principe, même si la dimension intergénérationnelle ne fait pas partie du concept de base.
Ici, le site met en contact des hôtes « qui proposent un repas pour une somme modique « (15 euros maximum) et des convives « qui cherchent un lieu convivial pour manger sainement et pas cher ».
Mais bien évidemment, les cuisiniers de tout âge peuvent s’y inscrire et profiter d’un moment convivial à table.
Pour en savoir plus : le site de SnapMiam
Envie de vous lancer ? Si vous n’êtes pas à l’aise sur internet, vous pouvez vous faire aider d’un proche au démarrage puis échanger avec les convives par téléphone pour fixer les derniers détails.
Pour que les repas redeviennent des moments de partage, différentes options existaient déjà, comme les restaurants de maison de retraite ouverts aux habitants du quartier, les cantines intergénérationnelles, les restaurants seniors ou les foyers restaurants.
Mais quid des personnes qui ont du mal à se déplacer ? A Bordeaux, Enora Goulard créé Paupiette en 2015, alors qu’elle est étudiante en BTS.
Cette start-up sociale et solidaire a pour vocation de mettre en relation des personnes âgées qui aiment cuisiner et des étudiants pour partager un repas, au domicile du cuisinier ou de la cuisinière.
Les prix sont fixes – 4 euros pour une plat, 5 euros pour une formule entrée/plat ou plat/dessert et 7 euros pour une formule entrée/plat/dessert.
L’idée n’étant pas de gagner de l’argent mais bien de créer du lien, le temps d’un déjeuner partagé, tout en encourageant les plus âgés à se (re)mettre en cuisine et faire bon usage de leur savoir-faire culinaire.
Et ça fonctionne : Paupiette se décline désormais à Paris et à Quimper.
Pour en savoir plus : le site de Paupiette
SnapMiam s’appuie sur le même principe, même si la dimension intergénérationnelle ne fait pas partie du concept de base.
Ici, le site met en contact des hôtes « qui proposent un repas pour une somme modique « (15 euros maximum) et des convives « qui cherchent un lieu convivial pour manger sainement et pas cher ».
Mais bien évidemment, les cuisiniers de tout âge peuvent s’y inscrire et profiter d’un moment convivial à table.
Pour en savoir plus : le site de SnapMiam
Envie de vous lancer ? Si vous n’êtes pas à l’aise sur internet, vous pouvez vous faire aider d’un proche au démarrage puis échanger avec les convives par téléphone pour fixer les derniers détails.