Bien vieillir (prendre soin de soi)
Cap vers la prévention
Vers les présidentielles 2017
Comment ne pas pointer que tous les candidats à l'élection présidentielle 2017 ont inscrit la prévention santé dans leur programme !
Enfin la "non qualité" est-elle identifiée : la sur-consommation médicamenteuse, les hospitalisations évitables, les épuisements des professionnels, des proches aidants. Le Haut conseil sur l'avenir de l'Assurance Maladie a estimé à 2 milliards d'euros ces sur-coûts pour les finances publiques.
Mais est-ce que les programmes de prévention seront-ils mieux pris en compte dans les politiques publiques nationales et locales ?
Et d'abord de quoi parle-t-on ?
La prévention primaire vise à réduire l’occurrence ou l’incidence d’une maladie : par exemple une campagne de vaccination, une campagne de promotion de l’hygiène bucco-dentaire, une campagne pour une meilleure hygiène de vie. Une enquête auprès de 180 aidants a montré le besoin crucial d'information dans le Médoc.
Dans l'Hérault c'est l'Api bus qui va au devant des proches aidants.
La prévention secondaire cherche à réduire les conséquences d’une maladie une fois celle-ci révélée : par exemple les campagnes de dépistage de cancers du sein. On peut penser aussi aux ateliers de prévention du bien vieillir (comme ceux des caisses de retraite CNAV/MSA/RSI)...
La prévention tertiaire vise elle à réduire les conséquences négatives des maladies chroniques : l’accompagnement diététique des personnes diabétiques, l'appareillage des personnes souffrants de déficits visuels (lunettes), auditifs (voir l'édito sur le cycliste centenaire Robert Marchand et les "restes à charge" des personnes à appareiller). Rien de mieux pour lutter contre le fléau de l'isolement social que de pouvoir communiquer (et donc voir, entendre, parler avec une bouche équipée !). Voir aussi cette semaine la méditation pour retarder la maladie d'Alzheimer et la recherche sur la maladie de Parkinson.
Pour rester en lien avec les autres, debout jusqu'au bout, comme ces magnifiques "Petits portraits de très grandes personnes" réalisés par la géniale Barbara Constantine.
Il semble que ces enjeux soient enfin montés dans les priorités des candidats à l'élection présidentielle.
Et c'est tant mieux !
Enfin la "non qualité" est-elle identifiée : la sur-consommation médicamenteuse, les hospitalisations évitables, les épuisements des professionnels, des proches aidants. Le Haut conseil sur l'avenir de l'Assurance Maladie a estimé à 2 milliards d'euros ces sur-coûts pour les finances publiques.
Mais est-ce que les programmes de prévention seront-ils mieux pris en compte dans les politiques publiques nationales et locales ?
Et d'abord de quoi parle-t-on ?
La prévention primaire vise à réduire l’occurrence ou l’incidence d’une maladie : par exemple une campagne de vaccination, une campagne de promotion de l’hygiène bucco-dentaire, une campagne pour une meilleure hygiène de vie. Une enquête auprès de 180 aidants a montré le besoin crucial d'information dans le Médoc.
Dans l'Hérault c'est l'Api bus qui va au devant des proches aidants.
La prévention secondaire cherche à réduire les conséquences d’une maladie une fois celle-ci révélée : par exemple les campagnes de dépistage de cancers du sein. On peut penser aussi aux ateliers de prévention du bien vieillir (comme ceux des caisses de retraite CNAV/MSA/RSI)...
La prévention tertiaire vise elle à réduire les conséquences négatives des maladies chroniques : l’accompagnement diététique des personnes diabétiques, l'appareillage des personnes souffrants de déficits visuels (lunettes), auditifs (voir l'édito sur le cycliste centenaire Robert Marchand et les "restes à charge" des personnes à appareiller). Rien de mieux pour lutter contre le fléau de l'isolement social que de pouvoir communiquer (et donc voir, entendre, parler avec une bouche équipée !). Voir aussi cette semaine la méditation pour retarder la maladie d'Alzheimer et la recherche sur la maladie de Parkinson.
Pour rester en lien avec les autres, debout jusqu'au bout, comme ces magnifiques "Petits portraits de très grandes personnes" réalisés par la géniale Barbara Constantine.
Il semble que ces enjeux soient enfin montés dans les priorités des candidats à l'élection présidentielle.
Et c'est tant mieux !