Les contrats obsèques passés au crible par 60 millions de consommateurs
Le magazine de l'Institut national de la consommation (public), 60 millions de consommateurs, a publié jeudi 13 octobre une étude sur les contrats obsèques, souscrits par 4 millions de Français (500 000 chaque année).
Des gouffres financiers
Le magazine a étudié "huit contrats d’assurance obsèques commercialisés par les poids lourds du secteur. Le constat est effrayant. Partant d'une hypothèse d'un assuré de 62 ans avec une espérance de vie de 85 ans, les testeurs ont calculé qu'en moyenne, ce dernier devra "débourser 4 815 euros pour 3 838 euros seulement de capital-décès reversé au bénéficiaire".
Recommandations
A la lecture de l'enquête, il est recommandé d'étudier les montants des cotisations, de vérifier les conditions de déblocage des fonds (certains contrats réclament un certificat médical sur les causes du décès, alors que l'ordre des médecins considère qu'il s'agit d'une rupture du secret professionnel), et aussi de négocier la revalorisation des fonds versés aux assureurs pour garantir le financement des obsèques.
D'autres formes de financements ne sont pas à négliger : l'assurance vie, la donation, le recours au compte en banque du défunt.
Quant aux services d'assistance aux proches endeuillés inclus (ou pas) dans ces contrats-obsèques, ils sont utiles et efficaces selon l'étude.
Des gouffres financiers
Le magazine a étudié "huit contrats d’assurance obsèques commercialisés par les poids lourds du secteur. Le constat est effrayant. Partant d'une hypothèse d'un assuré de 62 ans avec une espérance de vie de 85 ans, les testeurs ont calculé qu'en moyenne, ce dernier devra "débourser 4 815 euros pour 3 838 euros seulement de capital-décès reversé au bénéficiaire".
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A la lecture de l'enquête, il est recommandé d'étudier les montants des cotisations, de vérifier les conditions de déblocage des fonds (certains contrats réclament un certificat médical sur les causes du décès, alors que l'ordre des médecins considère qu'il s'agit d'une rupture du secret professionnel), et aussi de négocier la revalorisation des fonds versés aux assureurs pour garantir le financement des obsèques.
D'autres formes de financements ne sont pas à négliger : l'assurance vie, la donation, le recours au compte en banque du défunt.
Quant aux services d'assistance aux proches endeuillés inclus (ou pas) dans ces contrats-obsèques, ils sont utiles et efficaces selon l'étude.