Comprendre les fragilités
Montpellier : des cours de tango pour mieux vivre la maladie de Parkinson
Plus qu’une danse gracieuse et sensuelle, le tango possède des vertus thérapeutiques insoupçonnées. Utilisé en Argentine pour traiter la dépression ou les troubles psychiatriques, il aide aussi les malades de Parkinson à travailler leur posture, leur équilibre. A Montpellier, un cours de danse aidants/aidés doit d’ailleurs ouvrir ses portes à la rentrée.
A partir de septembre, une demi-douzaine de personnes se retrouvera à Montpellier pour des cours hebdomadaires de deux heures, sous la houlette de Leonardo Montecchia, danseur argentin installé en France depuis une vingtaine d’années.
« Le tango est avant tout une marche », explique Danièle Tritant, déléguée départementale de France Parkinson en Hérault. « Il permet de travailler l’axe du corps, la verticalité et le placement des pieds : c’est une excellente rééducation ! »
Mais pour les personnes touchées par la maladie, le tango revêt d’autres atouts. « La pratique de cette danse aide à améliorer l’estime de soi, à se réapproprier sa personne. Il s’agit d’une danse de couple, les participants font l’effort de bien s’habiller, de se pomponner », sourit Danièle Tritant, s’appuyant sur des cours organisés dans d’autres départements par l’association.
Une activité bénéfique pour les personnes aidées comme pour les aidants. « Participer ensemble à une activité positive est une façon de redynamiser la relation », souligne-t-elle.
Les groupes changeront à chaque trimestre. Si vous souhaitez vous inscrire, contactez France Parkinson 34 par mail : franceparkinson34@gmail.com
Pour en savoir plus : une étude canadienne de 2015 mesure les bienfaits du tango sur la maladie de Parkinson (en anglais).
A partir de septembre, une demi-douzaine de personnes se retrouvera à Montpellier pour des cours hebdomadaires de deux heures, sous la houlette de Leonardo Montecchia, danseur argentin installé en France depuis une vingtaine d’années.
« Le tango est avant tout une marche », explique Danièle Tritant, déléguée départementale de France Parkinson en Hérault. « Il permet de travailler l’axe du corps, la verticalité et le placement des pieds : c’est une excellente rééducation ! »
Mais pour les personnes touchées par la maladie, le tango revêt d’autres atouts. « La pratique de cette danse aide à améliorer l’estime de soi, à se réapproprier sa personne. Il s’agit d’une danse de couple, les participants font l’effort de bien s’habiller, de se pomponner », sourit Danièle Tritant, s’appuyant sur des cours organisés dans d’autres départements par l’association.
Une activité bénéfique pour les personnes aidées comme pour les aidants. « Participer ensemble à une activité positive est une façon de redynamiser la relation », souligne-t-elle.
Les groupes changeront à chaque trimestre. Si vous souhaitez vous inscrire, contactez France Parkinson 34 par mail : franceparkinson34@gmail.com
Pour en savoir plus : une étude canadienne de 2015 mesure les bienfaits du tango sur la maladie de Parkinson (en anglais).