Un numéro d'appel pour les femmes handicapées victimes de violence
3 millions de femmes auraient été victimes de violences en France en 2011, selon le ministère des Solidarités et de la Cohésion sociale. Un nombre qui ne cesse d'augmenter. Si ces chiffres sont déjà élevés, les femmes en situation de handicap sont trois fois plus exposées aux risques de violences que les femmes valides. Le handicap apparaît alors comme un facteur aggravant. Aujourd’hui, 4 femmes handicapées sur 5 sont ainsi victimes de violences.
Forte de ce constat et parce que cette violence est insupportable, Femmes pour le Dire, Femmes pour Agir (FDFA) vient de lancer la première permanence d'"Ecoute violences femmes handicapées", au 01 40 47 06 06. Un numéro pour dire stop aux violences envers les femmes handicapées.
Le lundi de 14h30 à 17h30 et le jeudi de 10h à 13h, des psychologues bénévoles seront disponibles pour les écouter, répondre à leurs questions ou les orienter en fonction de leur demande vers d'autres services d'écoute, institutions, services de police, numéros anonymes comme le 3977 ou le 3919. "Nous travaillons en réseau, c'est essentiel" ajoute Maudy Piot, présidente de FDFA.
Le service se démarque des autres centres d’écoute pour femmes maltraitées par la prise en compte de l’impact du handicap dans les situations de violences.
Pour ne pas laisser ces femmes handicapées avec leur détresse une fois le téléphone raccroché, l’association leur propose, si elles le souhaitent, des rencontres en terrain neutre, puis la participation à des ateliers dans ses locaux parisiens : Convivialité, Beauté & bien-être, Accompagnement vers l’emploi.
L’objectif est de permettre à ces femmes de s’acheminer vers une vie citoyenne et autonome.
Forte de ce constat et parce que cette violence est insupportable, Femmes pour le Dire, Femmes pour Agir (FDFA) vient de lancer la première permanence d'"Ecoute violences femmes handicapées", au 01 40 47 06 06. Un numéro pour dire stop aux violences envers les femmes handicapées.
Le lundi de 14h30 à 17h30 et le jeudi de 10h à 13h, des psychologues bénévoles seront disponibles pour les écouter, répondre à leurs questions ou les orienter en fonction de leur demande vers d'autres services d'écoute, institutions, services de police, numéros anonymes comme le 3977 ou le 3919. "Nous travaillons en réseau, c'est essentiel" ajoute Maudy Piot, présidente de FDFA.
Le service se démarque des autres centres d’écoute pour femmes maltraitées par la prise en compte de l’impact du handicap dans les situations de violences.
Pour ne pas laisser ces femmes handicapées avec leur détresse une fois le téléphone raccroché, l’association leur propose, si elles le souhaitent, des rencontres en terrain neutre, puis la participation à des ateliers dans ses locaux parisiens : Convivialité, Beauté & bien-être, Accompagnement vers l’emploi.
L’objectif est de permettre à ces femmes de s’acheminer vers une vie citoyenne et autonome.