Aidants : une solution connectée en test à Lyon
Conçu par une start-up lyonnaise, Lili Smart a pour vocation de faciliter le quotidien des aidants. L’entreprise recherche une soixantaine de binômes aidants/aidés pour tester la solution. L'hôpital de la Pitié-Salpétriêre mène quant à lui une étude sur la prévention d'Alzheimer. Explications.
Créée à l’origine pour les aidants de malades d’Alzheimer, Lili Smart se compose d’une application, d’une montre et de capteurs.
Les capteurs peuvent être apposés sur n’importe quel objet : un pilulier pour le rendre connecté, la porte du réfrigérateur pour détecter une absence d’ouverture, la porte de l’entrée… et envoyer ainsi une alerte en cas de changement dans les habitudes.
La montre, elle, a pour vocation d’envoyer des rappels à son porteur, sous forme de pictogrammes, pour lui signifier par exemple qu’il est l’heure de prendre ses médicaments.
L’application enfin permet de recevoir les alertes, d’envoyer des messages à son proche via la montre mais sert aussi de plateforme de communication entre aidants, proches et professionnels.
Lili Smart est commercialisée depuis le 1er janvier. En parallèle, une étude est menée par l’Institut du vieillissement de Lyon pour évaluer ses impacts sur le stress des aidants et les économies réalisées.
Les scientifiques recherchent donc une soixantaine de binômes aidants/aidés. Pour participer, l’aidé doit avoir au moins 50 ans, avoir reçu un diagnostic de maladie d’Alzheimer ou maladie apparentée, être à un stade léger ou modéré de sa pathologie et vivre à son domicile.
Le test durera six mois.
L'Institut de la mémoire et de la maladie d'Alzheimer (IM2A) de l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris, cherche quant à lui des volontaires pour évaluer les bénéfices d’un traitement préventif de la maladie d’Alzheimer.
Ils doivent être âgés de plus de 60 ans et se plaindre de troubles de la mémoire depuis au moins six mois.
Certains prendront un traitement préventif, et tous seront suivis pendant plusieurs années (examens sanguins et IRM).
Pour participer à l’expérimentation Lili Smart, envoyer un mail à crc.vcf@chu-lyon.fr
Pour participer à l’étude de l’IM2A, contacter Francis Nyasse (francis.nyasse@aphp.fr ou 06 60 38 58 62).
Créée à l’origine pour les aidants de malades d’Alzheimer, Lili Smart se compose d’une application, d’une montre et de capteurs.
Les capteurs peuvent être apposés sur n’importe quel objet : un pilulier pour le rendre connecté, la porte du réfrigérateur pour détecter une absence d’ouverture, la porte de l’entrée… et envoyer ainsi une alerte en cas de changement dans les habitudes.
La montre, elle, a pour vocation d’envoyer des rappels à son porteur, sous forme de pictogrammes, pour lui signifier par exemple qu’il est l’heure de prendre ses médicaments.
L’application enfin permet de recevoir les alertes, d’envoyer des messages à son proche via la montre mais sert aussi de plateforme de communication entre aidants, proches et professionnels.
Lili Smart est commercialisée depuis le 1er janvier. En parallèle, une étude est menée par l’Institut du vieillissement de Lyon pour évaluer ses impacts sur le stress des aidants et les économies réalisées.
Les scientifiques recherchent donc une soixantaine de binômes aidants/aidés. Pour participer, l’aidé doit avoir au moins 50 ans, avoir reçu un diagnostic de maladie d’Alzheimer ou maladie apparentée, être à un stade léger ou modéré de sa pathologie et vivre à son domicile.
Le test durera six mois.
Agir avant le diagnostic ?
L'Institut de la mémoire et de la maladie d'Alzheimer (IM2A) de l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris, cherche quant à lui des volontaires pour évaluer les bénéfices d’un traitement préventif de la maladie d’Alzheimer.
Ils doivent être âgés de plus de 60 ans et se plaindre de troubles de la mémoire depuis au moins six mois.
Certains prendront un traitement préventif, et tous seront suivis pendant plusieurs années (examens sanguins et IRM).
Pour participer à l’expérimentation Lili Smart, envoyer un mail à crc.vcf@chu-lyon.fr
Pour participer à l’étude de l’IM2A, contacter Francis Nyasse (francis.nyasse@aphp.fr ou 06 60 38 58 62).